Sophie Sainrapt expose à Bruxelles Ouverture de la galerie Peep’art au Sablon
Nouvelle venue dans le monde des galeries d’art de Bruxelles, Peep’art propose un espace dédié à l’art accessible. Les œuvres qui y seront exposées seront à un prix abordable, c’est-à-dire entre 100 et 5.000 euros.
Il s’agit d’un positionnement unique dans le quartier du Sablon où se côtoient les plus grandes galeries, et où les prix des œuvres s’envolent en général bien au-delà.
L’autre singularité de la galerie est que la programmation sera volontairement éclectique, présentant des artistes de tous horizons et de toutes disciplines. Les visiteurs pourront y découvrir autant de la peinture, de la sculpture que de la photographie et occasionnellement y voir travailler des artisans d’art d’exception.
Thierry Pipar. a ainsi voulu développer un concept de galerie qui incite les acheteurs et les artistes à se rencontrer et ce, dans une ambiance décontractée. Le contact direct avec les artistes apporte en effet une dimension bien différente qui permet à l’acheteur de ressentir davantage ce que l’artiste a cherché à transmettre au travers de son travail.
« Peu de gens osent franchir la porte d’une galerie par cette fausse idée qu’elles sont adressée à une élite, et en particulier au Sablon. J’ai eu envie de proposer autre chose, et de les inviter à la fois à des rencontres, et à des découvertes coup de cœur, dans une gamme de prix abordable » commente le galeriste.
Il a ainsi prévu d’aménager un studio au sein même de la galerie pour offrir à l’artiste la possibilité d’y résider au moments clés de l’accrochage et du vernissage.
La première exposition « Traces de femmes, paradis perdus » présentera le travail de Sophie Sainrapt, artiste peintre plasticienne française. Son œuvre est essentiellement dédiée au nu féminin.
Sophie Sainrapt se consacre depuis quelques années à une thématique en particulier : Les Femmes du Monde. Elle prend pour modèles des femmes de toutes couleurs, formes et origines. Du modèle dévêtu devant elle, Sophie Sainrapt ne transcrit que quelques traits au fusain que rejoignent ceux du pinceau.
Ma représentation du corps féminin et mon exploration constante de l’univers de Jérôme Bosch me parait correspondre à l’esprit surréaliste et insolent du plat pays qui est le mien, explique Sophie Sainrapt,qui ajoute « Bruxelles c’est un retour à mes origines belges et notamment bruxelloises ».
Exposition des œuvres de Sophie Sainrapt du vendredi 25 septembre au dimanche 1er novembre