Vudailleurs.com

Au-delà de ce nouveau concept anxiogène, je veux faire deux constats :

1. Les écolos sont les champions du déterminisme anti-humanité qu’elles qu’en soient les conséquences.
2. La ruralité est souvent prise pour la poubelle du monde

Vigilance à tous les niveaux

Les PFAS (Polyfluoroalkylées), nouveaux « faire-peur » brandis par les écologistes.

Ils existent depuis longtemps (dans l’air, dans l’eau et dans la terre) mais sont devenus depuis peu le nouvel eldorado des chantres de la décroissance et des opposants à la création humaine.

Certes, il faut protéger les populations des pollutions et des maladies inhérentes à l’activité de l’homme sur terre mais pour autant, est-il possible de confier à la science la recherche de solutions ? En partie oui ! Les services R&D (Recherche et Développement) n’ont pas attendu les dispositions de l’Assemblée Nationale interdisant l’utilisation de certains Polluants Eternels pour travailler sur le sujet.

Particules pratiquement indestructibles dans la nature, Il est évident que nous devons lutter sur deux aspects : la mise en contact et l’utilisation.

• Dès lors où nous savons qu’ils existent, ils doivent être isolés et contraints à l’éloignement.
• Tant que faire se peut, ils doivent être évités dans la fabrication de produits.

La commune rurale ne peut assumer la dépollution de son territoire transformé en décharge à ciel ouvert.

Nos campagnes sont trop souvent le réceptacle de dépôts sauvages et incivilités, contenant nécessairement ces polluants éternels.

Les perturbateurs endocriniens, molécules cancérigènes, neurotoxiques doivent être identifiés et combattus partout où cela est possible. Des solutions intermédiaires voire substituées sont toujours envisageables.

Les collectivités locales n’ont pas les moyens, par des budgets forts contraints, de nettoyer et de faire évacuer les déchets de la terre entière.Loin de nier les pollutions, il faut refuser le catastrophisme et agir sans dogmatisme.