« Aucune institution ni aucun individu ne peut rester à l’écart dans la lutte contre le changement climatique »Kristalina Georgieva
« Prêt ou non, nous entrons dans une ère de l’ adaptation » , écrit Directeur général du FMI Kristalina Georgieva dans notre plus récent numéro du magazine F & D sur les aspects économiques du changement climatique. « L’adaptation n’est pas une défaite, mais plutôt une défense contre ce qui est déjà le cas. »
Et ce qui se passe exactement? Selon un nouveau rapport de l’ONU publié la semaine dernière, la planète de se réchauffer à 3,2 degrés Celsius d’ici 2100 à moins que les efforts pour les émissions coupées sont triplés. Pour rester dans des limites relativement sûres, les émissions doivent diminuer de 7,6 pour cent chaque année entre 2020 et 2030. Des mesures draconiennes sont nécessaires, et aucune institution ou individu ne peut se tenir à l’écart.
Et qui nous comprend.
« Nous considérons le changement climatique, un risque systémique pour la macroéconomie et dans lequel le FMI est profondément impliqué par ses conseils de recherche et de la politique. Nous intensifions notre travail sur la tarification du carbone et aider les Cartes gouvernements route de l’artisanat comme ils se frayer un chemin pour construire des économies vertes qui cherchent à être carbone libre. Nous allons travailler plus étroitement avec les banques centrales, qui sont maintenant des cadres et adaptent les pratiques réglementaires pour faire face aux risques posés par le changement climatique « , dit Georgieva . « Et last but not least, nous aider à pousser les efforts vers l’avant autour de tests de stress sur les changements climatiques, y compris par nos propres évaluations des secteurs et des économies financières des pays. »
Cédric Leboussi
4.5