Qui est Anne-Yonne Le Dain ?
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Élue députée de la 2 ème circonscription de l’Hérault depuis le 17 juin 2012 et membre de la commission des lois,
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Vice-présidente du bureau du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale,
- Vice-présidente de l’Observatoire Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques,
Docteur en science de la Terre et de l’Atmosphère, ingénieure agronome, j’ai eu la chance de pouvoir faire toute ma carrière à Montpellier avec cinq employeurs différents, en contrat de droit privé mails dans des missions de service public, ma passion.
À 19 ans, j’intègre l’Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie à Montpellier en 1974, puis l’Université Montpellier 2 et enfin l’Institut de Physique du Globe à l’université Paris 6-Jussieu.
Je reviens en 1982 à Montpellier à l’Institut des Aménagements Régionaux et de l’Environnement et je n’ai plus quitté la ville où mes 3 enfants sont nés.
J’ai ensuite exercé des responsabilités nationales comme Déléguée Régionale à la Recherche et à la Technologie, pendant 7 ans.
C’est en faisant du soutien scolaire aux enfants de la Paillade et des Cévennes, où j’habitais, que j’ai envie de m’engager en faveur de l’éducation, engagement que je prolonge comme Présidente départementale de la FCPE de 1998 à 2002.
Après avoir travaillé pour Georges Frêche en 1985 au Conseil des Rivages du Conservatoire du Littoral, je le rejoins sur sa liste aux élections municipales en 2000, exerce mon premier mandat politique comme Vice-présidente de l’Agglomération de 2000 à 2002 puis maire-adjoint de Montpellier de 2002 à 2006 et toujours aux côtés de Georges Frêche puis de Christian Bourquin et de Damien Alary, Vice-présidente du Conseil régional de 2004 à 2015 en charge notamment du développement économique, de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation.
En 2004, Georges Frêche me confie la présidence de la société de capital-investissement régionale,la Soridec, que je redresse. Enfin, en mai 2011, je fonde les «Femmes politiques progressistes» que je préside depuis car la parité n’est pas encore installée de façon stable dans le monde politique, bien que le Parti Socialiste ait nettement progressé sur ce sujet.