Jean-François LEGARET: UN ALLIER IMPORTANT DE NKM
Jean-François Legaret, né le 21 août 1952 à Paris, est un homme politique français, maire UMP
Il entre à l’âge de 30 ans au Conseil du 1er arrondissement de Paris, en 1983.
En 1989, il est élu conseiller de Paris RPR et en 1994, conseiller régional d’Île-de-France (la région est alors présidée parMichel Giraud).
De 1995 à 2001, Jean-François Legaret est l’adjoint au maire de Paris, Jean Tiberi, chargé des Finances et des marchés publics.
Il est président du Port autonome de Paris de 1997 à 2001.
En mars 2001, il est le seul rescapé issu de la liste dissidente de Jean Tiberi à être élu maire d’arrondissement, à part Jean Tiberi lui-même, réélu dans le 5e arrondissement. Il obtient 52,48 % des voix contre 47,51 % au candidat socialiste Alain Le Garrec.
En 2002, Jean-François Legaret rejoint l’Union pour un mouvement populaire dont il devient le délégué de la première circonscription de Paris qui regroupe (jusqu’en 2012) les 1er, 2e, 3e et 4e
Candidat (UMP) à la députation, pour la XIIe législature (2002–2007), dans la première circonscription de Paris (1er, 2e, 3e et4e
En 2003, dans le cadre des élections internes à l’UMP Paris, il est réélu délégué de la première circonscription de Paris.
Vice-président délégué et porte-parole du groupe UMP du Conseil de Paris, il préside le comité de soutien à Nicolas Sarkozyde la première circonscription de Paris lors des élections présidentielles de 2007.
Pour les élections législatives des 10 et 17 juin 2007, Jean-François Legaret est le candidat désigné par l’UMP dans lapremière circonscription de Paris pour la XIIIe législature. Il affronte notamment Martine Billard, la député sortante (Verts) et comme les autres candidats UMP de tous les autres arrondissements de Paris, un candidat de l’UDF/MoDem, un candidat du Centre national des indépendants, et un autre d’Alternative libérale, trois mouvements du centre et de la droite. Au soir du premier tour, Jean-François Legaret était en ballotage favorable avec 39,70 % des voix contre 37,1 % à Martine Billard, parvenant à devancer la députée sortante dans le 1er arrondissement (50,21 %), le 2e arrondissement (38,47 %) et le 4earrondissement (41,64 %). Il est cependant battu au second tour, avec 45,75 % des voix contre 54,25 % pour Martine Billardet n’obtient la majorité que dans le 1er arrondissement, dont il est maire.
Candidat à sa propre succession à la mairie du 1er arrondissement dans le cadre des élections municipales de 2008 à Paris, il est réélu au second tour avec 52,76 % des voix.
Il est l’une des premières personnalités politiques françaises à avoir utilisé des automates téléphoniques auprès de ses électeurs pour les sensibiliser à sa candidature1.
Dans la perspective de l’élection municipale de 2014 à Paris, il se présente à la primaire de l’UMP pour devenir tête de liste sur l’ensemble de la capitale. Il est en compétition avec Nathalie Kosciusko-Morizet, Pierre-Yves Bournazel et Franck Margain. Le jeudi 30 mai 2013, il déclare avoir reçu « de très nombreux témoignages de piratage du fichier des inscriptions » ; « tout cela est de nature à remettre en question la sincérité du scrutin », et annonce qu’il saisit la justice pour« faux et usage de faux »2. Il termine en deuxième position avec 20,46 % des suffrages. Le 10 octobre, il est désigné chef de file UMP dans le 1er arrondissement (les têtes de liste seront confirmées après les négociations avec l’UDI et le MoDem).
Portier-Ripoche
NKM,aucune chance…malheureusement…Rama Yade aura plus de chance en 2016…Rama Yade, un Paris pour l’Avenir, une Capitale pour tous…d’ici là, qu’elle s’occupe de sa petite Jeanne…
Agathe
J’aimais bien Legaret.
Il fallait une femme. NKM a moins d’expérience. On juge un arbre à ses fruits.