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  Anne-Laure Blin : « Les Français demandent de la fermeté pour ne plus subir la pression migratoire. »  

Pour répondre à cette forte attente, le gouvernement a préféré « le en même temps » expliquant d’un côté octroyer un droit à la régularisation aux clandestins et d’un autre prétendre adopter un « arsenal juridique ferme ». 

La vérité est que ce texte ne répond aucunement aux enjeux de notre Nation : durcir les conditions de maintien sur notre sol et celles des expulsions, atténuer les effets du regroupement familial, restreindre le droit du sol auraient dû mériter toute l’attention du gouvernement. 

Car nous ne pouvons plus continuer à assister, impuissants, aux attaques qui se déroulent sous nos yeux. 

La régularisation massive et l’obtention d’un droit à régularisation étaient deux lignes rouges annoncés dès les débuts de l’examen du texte au Sénat. 

Hier, le vote de la motion de rejet est devenu inéluctable compte tenu de la teneur des débats en commission des lois ayant considérablement dénaturés les apports du Sénat. 

A l’image de ce qui s’est passé ce jeudi au sein de l’hémicycle, aucun débat n’aurait été possible. Sans compter le nombre très important d’irrecevabilité d’amendements. 

« J’ai déposé près de 50 amendements sur le texte pour œuvrer à rétablir la fermeté nécessaire au regard de la situation du pays. 

Je ne prendrai qu’un seul exemple très représentatif. J’avais déposé un amendement pour demander des explications au gouvernement sur la répartition des clandestins partout dans le pays mais celui-ci a été déclaré irrecevable ! Dans ces conditions, nous n’aurions eu aucune marge de manœuvre face à la volonté du gouvernement de donner des gages à la gauche. 

Dans ces conditions, le vote de la motion de rejet présente tout l’intérêt de repartir d’une version plus exigeante et ferme dans l’intérêt de la France et des français. » indique Anne-Laure BLIN, député.

« J’ai pris toute la mesure de mon rôle de député hier par mon vote. Nous ne pouvons pas nous taire. Il fallait dire au gouvernement que la situation du pays est inquiétante et qu’il faut réagir tout de suite et ne pas continuer à subir la vague migratoire incontrôlée » précise Anne-Laure BLIN.

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