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Afrique :  le taxi-brousse, toujours indispensable

On les appelle « Matatu » (Kenya), « taxi-brousse » (Afrique de l’Ouest), « Dala-dala » (Tanzanie), ou « Kombi » (Afrique australe), parmi de nombreux autres. Autant de déclinaisons locales d’un même concept, qu’on retrouve dans tous les pays pauvres : le taxi collectif. Il s’agit d’un taxi assez différent de ce qu’on a l’habitude de trouver en Europe occidentale, puisque ce moyen de transport est adapté à un contexte de pauvreté et de quasi-absence d’autres moyens de transport en commun.

Pour découvrir ce mode de transport unique. Le taxi-brousse, est un taxi qui peut généralement accueillir jusqu’à 10 personnes. Sa particularité est qu’un taxi-brousse ne part pas tant que toutes les places ont été vendues et que celui-ci s’arrête à la demande.

Les taxis-brousse ont la réputation d’être inconfortables, dangereux et parfois très longs. Mais, c’est surtout un moyen de transport très économique, qui permet à tout type de budgets de pouvoir se déplacer partout dans le pays. Pour les touristes, ce moyen de transport est une façon de voyager unique, qui permet à tous ceux qui le prenne de pouvoir découvrir la vraie vie locale des habitants

La crise aidant, un certain nombre de moyens de transport alternatifs, plus économiques et plus respectueux de l’environnement, émergent en France et en Europe, dont le covoiturage… et les taxis partagés. Ce moyen de transport partagé et les dérives qu’il peut engendrer ne sont pas sans rappeler certains aspects des taxis collectifs. Pourtant, il est important de signaler plusieurs différences qui font que le taxi collectif ne s’est pas développé en France (du moins pas sous la forme africaine décrite ici) :

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