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SOPHIE BASTIDE-FOLTZ: TRADUCTRICE LITTERAIRE

 

 

 

 

 

Sophie Bastide-Foltz est traductrice littéraire depuis plus de vingt-cinq ans. Elle a vécu cinq années aux Etats-Unis où elle a fait des études de journalisme et enseigné le français.
De retour en France, et par amour de la langue française, elle abandonne le journalisme pour se lancer dans la traduction littéraire. Elle a traduit à ce jour plus de trente auteurs – américains, anglais, australiens, canadiens, néo-zélandais, indiens, bhoutanais. Parmi eux, Henry Miller, Susan Sontag, Margaret Laurence et Ayn Rand.
Au nombre des éditeurs avec lesquels elle a collaboré on peut citer Actes Sud, Belfond, Buchet-Chastel, Gallimard, Anne Carrière, Les Belles Lettres…

Comments

  • soubrier rené
    mai 24, 2014

    Je viens de terminer le livre de Fatima Bhutto.Les lunes de Mir Ali.

    J’ai appréciée votre traduction
    Dommage que parfois vous oubliez la traduction de certains mots
    sans que le contexte nous fasse trouver le sens
    Merci (je ne voudrai pas être que négatif, peut-être suis-je trop
    exigeant , ) merci donc pour vos « bas de page » très intéressants.
    Continuez à traduire Fatima Bhutto; j’ai pris un grand plaisir
    à vous lire …toutes les deux !
    Je suis donneurs de voix pour les non-voyants.
    Cordialement à vous.
    René Soubrier.

    • sophie Bastide-Foltz
      janvier 17, 2016

      « Vous oubliez la traduction de certains mots ». Vous m’étonnez. Mais il est vrai que Fatima Bhutto a laissé un certain nombre de choses dans le vague et qu’elle m’a spécifiquement signalé qu’elle voulait que cela reste ainsi. D’où, peut-être le sentiment qu’on a de ne pas bien comprendre. C’est le cas aussi en anglais… J’espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de ma fidélité à son écriture. Je vous remercie de votre commentaire.

  • apo
    avril 21, 2015

    Bonjour,

    Je viens de terminer la lecture de « Je suis Pilgrim »- certainement un livre sortant des sentiers battus, et un beau challenge à traduire!
    Sans doute vous en a t-on déjà fait la remarque, mais: concernant la note en bas de page suivant la phrase « Il l’appela l’hôtel Overlook » (page 358 de la version Le Livre de Poche). Il ne s’agit pas d’un jeu de mot entre « dominer  » et « échapper », mais d’une référence à « Shining » de Stephen King: l’Overlook est le nom de l’hôtel isolé, en montagne et infernal dont le père de Danny a la charge.
    Cordialement!

    • sophie Bastide-Foltz
      janvier 17, 2016

      Oui, en effet, on m’a déjà signalé cette erreur. Un ratage de ma part. Je n’avais pas lu ce livre de Stephen King… J’espère que je serai pardonnée. Comme je viens de l’écrire au commentateur suivant, nous autres traducteurs ne sommes pas infaillibles, nos correcteurs non plus, mais les lecteurs exigeants nous permettent de progresser. Je dois ajouter que pour ce livre, j’ai eu un délai exceptionnellement court, ce qui explique sans doute AUSSI certaines erreurs ou fautes d’orthographe. Merci de votre commentaire.

  • HAZAËL-MASSIEUX Philippe
    janvier 17, 2016

    Madame,

    Lisant actuellement votre traduction en  »live de poche » (édition Lattès) de l’ouvrage  »Je suis Pilgrim » de Terry HAYES, mon attention a été attirée par une erreur de désignation souvent commise par les personnes étrangères au monde médical: il est question à la page 251, deux ligne avant le bas de page, d’une « giclée (…) de matière cervicale » s’échappant de  »l’arrière de la tête »; il s’agit en fait de matières cérébrales, l’adjectif cervical ne se référant qu’au organes du cou (éthymologie latine: cervix).
    Je ne sais si l’erreur figurait dans le texte initial ou si elle procède de la traduction, mais connaissant la rigueur des traducteurs professionnels, je me permets tout de même de vous transmettre l’information, à toutes fins utiles.

    cordialement

    • sophie Bastide-Foltz
      janvier 17, 2016

      Vous avez parfaitement raison. C’est une erreur. « Mon » erreur. Et celle de mes correcteurs. Ils sont là pour ça, me signaler mes fautes. Mais sans doute n’avaient-ils pas, de même que moi, suffisamment de connaissance en la matière. Pour une nouvelle édition, je demanderai à ce que cela soit réparé. Je vous remercie de me l’avoir signalé. Sur un livre de cette taille, quelques erreurs ou fautes sont hélas fréquentes. Nous autres traducteurs ne sommes pas infaillibles et ce sont les lecteurs exigeants, comme vous, qui nous permettent de progresser.

  • Anonyme
    novembre 25, 2018

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