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« Ne laissons pas le Maire de Bordeaux vendre l’hôtel de Ragueneau »Philippe Dorthe

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L’hôtel de Ragueneau, rue du Loup à Bordeaux, joyau de L’architecture bordelaise du 17e siècle doit être vendu aux enchères par la ville de Bordeaux. Ce monument public est la propriété des bordelaises et des bordelais, il doit le rester. Empêchons le Maire de vendre notre patrimoine.

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9 Commentaires

  • Ne laissons pas notre patrimoine partir, conservons les beaux monumnents bordelais, c’est à nous, ce sont nos repères, notre coeur, notre vie et la culture de nos enfants.

  • On ne peut risquer de voir une partie de notre patrimoine architectural partir dans des mains privées et de surcroît étrangères, éventuellement.

  • La vente ce bel Hôtel Ragueneau rapportera quelques millions d’euros pour la ville de Bordeaux, mais dans quels projets vont-ils être dilapidés!That is the question…Ah!, ces politicards ne pensent qu’à l’argent………..ils n’ont plus aucune forme « humaine »!!!

  • Gardons nos richesses architecturales, ce n’est pas pour rien que nous sommes classé patrimoine mondial de l’Unesco.
    Ce n’est pas pour autant que je n’aime pas les nouvelles constructions comme le musée des vins et le pont Chaban Delmas.

  • Une relation affective de près de 4 siècles entre l’hôtel de Ragueneau et les Bordelais ne peut être décapitée par le seul coup de maillet d’un commissaire priseur.

  • L’ accélération des constructions à Bordeaux bouleverse définitivement l’aspect de cette ville classée à l’Unesco. Cette densification urbaine sans précédent est autant portée par une volonté de modernisation que par une spéculation qui fait de la construction la première source d’enrichissement de la ville.
    Il est regrettable de constaté une telle dilapidation historique patrimoniale, architecturale de lieux, quartiers et de mémoire de vies au profit de la rentabilité.

  • Vous vous appelez « Cercle des Libéraux » et vous faîtes campagne avec un politicien PS contre la vente à un organisme ou une personne privée d’un bien public???? Il faudrait peut-être revoir votre définition du libéralisme,et particulièrement l’application économique de la théorie libérale! J’ose à peine vous proposer de lire des penseurs que vous n’avez surement même pas entendu parler: John Locke, Adam Smith, John Stuart Mill, David Ricardo, Turgot, Condillac, Say, Bastiat, Léon Walras, Vilfredo Pareto, Hayek, Jacques Rueff, Gérard Debreu, Maurice Allais, Jean Tirole parmi tant d’autre qui vous rappelleraient que la recherche de l’intérêt particulier concourt naturellement à l’intérêt général!

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